Innovation radicale, innovation disruptive ou disruption… Sujets dont les entrepreneurs aiment à parler en y apportant leur propre définition à défaut d’en avoir compris les enjeux. Autant vous dire que J’aime autant utiliser ce mot que mettre la langue sur les 2 poles d’une pile.
Pourtant, la disruption (ou l’innovation disruptive) peuvent apporter de grandes idées, comme Hillary Clinton – lorsqu’elle était encore candidate – qui avait lancé un appel aux «grands dirsupteurs» de la silicon valley pour « disrupter » Daech…
En fait, quand on parle de disruption, il y a 2 approches qui se complètent dans ce monde « VUCA » : la disruption version Jean-Marie Dru et de l’autre l’innovation disruptive version Clayton Christensen.


En plus, ce type d’innovation serait moins fréquente qu’on pourrait le croire. Selon Andrew King et Baljir Baatartogtokh qui ont repris 77 cas d’innovations présentées comme disruptives par Clayton Christensen et en s’appuyant sur le critères énoncés par le professeur, ils sont arrivés à la conclusion que seulement 9% des cas répondaient à ces critères.

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