Réinventer le métier de consultant RH

Mar 29, 2011 | Expertise | 7 commentaires

Consultant RH. Lorsque je rencontre quelqu’un pour la première fois et qu’il, ou elle, me demande ce que je fais dans la vie, je suis bien dans l’embarras de faire simple. Une pirouette « euh…c’est un peu compliqué, tu as 5 minutes ? ».

Une blague permet aussi de s’en sortir. Il m’arrive ainsi de me présenter comme nettoyeur d’écran de cinéma IMAX, écrivain pour fortune cookies, dessinateur de plan de station de ski ou inspecteur de dé pour le casino de Pougues les eaux. Bon, en vrai, j’ai tenté de réinventer mon métier. Je ne suis pas un formateur. Je ne suis pas non plus un consultant RH. Je suis entrepreneur qui expérimente. Voyons si je peux décrire ce boulot.

Une approche du métier de consultant en ressources humaines par l’originalité 

Être original dans le métier de consultant en ressources humaines implique de se démarquer des autres consultants RH en proposant des approches novatrices et en adoptant des pratiques uniques qui répondent aux besoins spécifiques de vos clients. Pour cela, je suis passé par un peu toutes les phases avec : 

Une approche « start-up ». C’est-à-dire, qu’en m’inspirant des pratiques commerciales des Start-ups, je propose mes services selon plusieurs niveaux de personnalisation de « Sur l’étagère » à « Sur mesure ». Et j’y ajoute certaines nuances en fonction de la durée de la mission et des enjeux stratégiques. 

Des méthodologies innovantes : pour cela, je collectionne les propales de mes concurrents. Pas pour les copier, mais pour faire différemment, voir faire l’opposé. Je m’inspire aussi d’autres domaines professionnels, tels que l’intelligence artificielle, la gamification ou les méthodes agiles. Tout est bon pour bousculer gentiment le client et l’aider à aborder ses défis RH de manière innovante.

Une expertise de niche : ici, je me suis spécialisé dans un domaine spécifique des ressources humaines : le parcours collaborateurs et la relation salariée pour offrir des services de conseil pointus et différenciants. Ce qui signifie que j’offre une approche holistique de la relation salariée en intervenant du recrutement au départ des collaborateurs en passant par la formation et le management. Oui, c’est une grande niche… 

Une curiosité pour les tendances et des meilleures pratiques : passionné par mon emploi et surtout, âgé de 50 ans, je sais que la ringarditude me guette. C’est cette peur qui me motive à rester informé des dernières tendances et évolutions du secteur des ressources humaines pour proposer des solutions avant-gardistes et pertinentes à mes clients ou à mon audience en conférence. Dans la même veine, et pour la même raison, j’investis au minimum 10 000 euros par an dans mon développement professionnel pour rester à jour sur les compétences, les connaissances et les pratiques du métier de consultant RH.

Une communication créative : toujours motivée par la peur de devenir « hasbeen » je reste à la page sur les techniques de montage vidéo et le storytelling. Je continue à peaufiner mes slides au-delà du parfait pour disposer de supports visuels attrayants et présenter vos idées et vos solutions de manière originale et convaincante.

Une approche collaborative intégrée : si les clients ont un peu arrêté de demander des interventions « interactives » ils ne supportent plus de recevoir une proposition qu’ils ne peuvent personnaliser ou une conférence descendante. C’est la raison pour laquelle je passe toujours par la proposition à déchirer qui permet de la personnaliser tout en guidant certains clients qui en fait ne savent pas ce qu’ils veulent. En travaillant en étroite collaboration avec mes clients et en impliquant leurs équipes dans la conception et la mise en œuvre des solutions RH, cela favorise l’engagement, l’appropriation et le succès des initiatives.

Une démarche éthique et responsable : évidemment, ce n’est plus une option ! J’ai intégré les principes de responsabilité sociale et environnementale dans mes services de conseil et dans mon mode de fonctionnement en tant que consultant, pour montrer l’exemple et gagner la confiance de mes clients. Par contre, je dois reconnaître que même en privilégiant le train, avec 3 interventions par semaine en moyenne sur l’année, mon bilan carbone pourrait être plus bas. 

J’espère que cette approche vous servira si vous êtes consultant RH ou vous encouragera à m’appeler si vous cherche un consultant en Ressources humaines ou en innovation. 

 

Consultant RH : Un métier au contour flou

Ce serait tellement plus simple si j’étais « Consultant » ou « Directeur du marketing ». « Responsable commercial » ou même « Community Manager », ça me rajeunirait. Même si ces emplois sont un peu fourre-tout et ne signifient pas la même chose d’une entreprise à l’autre. Leur dénomination est claire, nette et précise. En plus, ça rassure et ça permet d’être payé à l’heure ou au mois… Malheureusement (ou heureusement plutôt), mon métier n’est pas d’être payé à l’heure, mais de créer de la valeur pour mes clients. Que ces clients soient des entreprises, des dirigeants, responsables RH, enseignants ou étudiants. Ces derniers sont d’autant plus exigeants qu’ils ne paient pas.

C’est en discutant avec Christophe Blazquez lors d’une intervention à Pau que j’ai commencé à réfléchir à mon métier qui est plus une « Occupassion » qu’un job. Merci Christophe pour cet échange qui me permet aujourd’hui de pouvoir présenter les différentes composantes de l’emploi que j’ai créé. Bon, je n’en suis pas encore au Pitch Elevator (ou lancé d’ascenseur si vous voulez) mais ça avance.

Un rôle qui évolue à marche forcé depuis le confinement

Le métier de consultant RH est souvent perçu comme un métier aux contours flous, car il englobe un large éventail de compétences, de missions et de responsabilités. Le consultant RH doit être capable de s’adapter à des contextes et des problématiques très divers, ce qui rend sa fonction à la fois complexe et polyvalente.

Premièrement, le consultant RH intervient dans de nombreux domaines liés à la gestion des ressources humaines, tels que le recrutement, la formation, la rémunération, la gestion des carrières, la gestion des compétences, le développement organisationnel, la gestion du changement, la communication interne, la santé et la sécurité au travail, etc. Chacun de ces domaines requiert des compétences spécifiques et une expertise pointue, ce qui peut rendre le métier de consultant RH difficile à cerner pour les personnes extérieures au domaine.

Deuxièmement, le consultant RH travaille avec des entreprises de tailles, de secteurs et de cultures très différents. Il doit être capable de comprendre rapidement les enjeux et les spécificités de chaque organisation pour proposer des solutions adaptées à leurs besoins. Cette adaptabilité, requise pour exercer le métier de consultant RH, peut également contribuer à l’impression de flou qui l’entoure.

Enfin, le rôle du consultant RH évolue constamment en fonction des tendances du marché, des évolutions technologiques et des attentes des entreprises et des employés. Le consultant RH doit être en veille permanente et se former en continu pour rester à la pointe de son domaine et proposer des solutions innovantes. Cette évolution constante du métier peut également renforcer l’impression de contours flous.

Malgré cette apparence de flou, le métier de consultant RH est en réalité un métier riche et passionnant, qui offre de nombreuses opportunités de développement professionnel et d’épanouissement personnel. Pour réussir dans ce métier, le consultant RH doit cultiver sa polyvalence, son adaptabilité et sa capacité à innover, tout en restant à l’écoute des besoins de ses clients, mais aussi des jeunes consultants qui arrivent sur le marché et qui sont plus affûtés dans la création et l’animation de communauté. On vieillit.

Concevoir puis initier

Déjà, mon job ne consiste pas seulement  « à mettre en place » mais à concevoir. Pas uniquement à expliquer, mais à initier. Pas seulement à exploiter, mais à expérimenter. Pas uniquement à appliquer, mais à inventer. Pas seulement à parler, mais (surtout) à écouter. En-tout-cas, pas à avoir raison, mais à partager une vision du monde. Certains diront que j’aide les responsables d’entreprises à rester en contact avec les tendances concernant leur activité en perdant le temps qu’ils n’ont pas toujours à consacrer à cela. Je « perds » donc mon temps pour en faire gagner aux autres.

Voici la liste de mes fonctions actuelles. Bon, j’ai abandonné la notion d’Architecte RH avec laquelle je me présentais en revenant d’Australie. Le flambeau de l’architecture RH a été passé depuis à Vincent Rostaing à Nantes…

Bon, vous noterez qu’il y a beaucoup de titres en anglais. Langue plus concise qu’en français. Si vous êtes allergique aux néologismes anglais, je vous invite à cliquer ici, revenez ensuite.

D’abord, je dois préciser que je suis un Dasher, pas un Slasher. C’est à dire que je ne juxtapose pas des jobs qui n’ont rien en commun. Pas comme l’exemple donné dans l’article de l’express de ce consultant en immobilier / réalisateur / journaliste (/=slash) qui accumule les emplois pour pouvoir gagner sa vie. Mes « occupassions » sont toutes reliées les unes aux autres avec un tiret « – » ou « dash » en anglais.

Consultant RH ?

Pour être compris, je suis encore obligé de me présenter comme un consultant. Pourtant, si mon job se rapproche de cette famille d’emploi, ce n’est pourtant pas mon activité. Loin de là. Après plusieurs expériences en direction RH et en direction d’entreprises. Je ne parle pas à un client en lui disant « selon les meilleures pratiques » mais plutôt « J’ai fait cette conner.ie aussi alors je ne vous conseille pas ! », en parlant de dirigeant à dirigeant ou de RH à RH.
Il y a aussi une notion de durée qui est souvent attachée au métier de consultant. Cliché ou pas, avoué ou pas, l’un des premiers objectifs des consultants (en plus d’apporter leur compétence, leur expérience, valeur, bla bla) est de rester chez leur client le temps que se réalise leur mission. Payés à l’heure ou au jour, Il vaut mieux que ce temps soit « conséquent ». Au contraire, mon emploi est d’initier et d’apprendre à faire, plus que de faire. Ce qui se traduit par plusieurs interventions de quelques heures et pas une intervention de plusieurs semaines, qui se prolonge. Je présente en détail cette différence dans un chapitre intitulé « L’anti-consultant ou Naked Consulting » dans mon prochain bouquin sur le métier de consultant. Il est toujours disponible aux éditions Maxima sous un titre que… bon…Passons.

Ass Kicker

Pour reprendre et détourner ce titre utilisé à Axa Equitable. Pour avoir un impact, je pense que le lancement d’un projet d’entreprise doit rassembler l’ensemble des acteurs de l’entreprise. Qu’ils soient directement concernés ou pas, être mémorable et appeler un chat un chat ! N’étant pas tenu par un seul client qui me nourrit, je peux me permettre de garder ma liberté de ton sans oublier que le premier client est l’entreprise dans son ensemble, et pas seulement ses dirigeants ou actionnaires. C’est en utilisant cette liberté que je me permets – avec la complicité des dirigeants – de dire tout haut que d’autres personnes de l’entreprise pensent tout bas. Il faut en finir avec les non-dits, sources de rumeurs, de peurs et de perte de confiance. C’est d’ailleurs ce qui m’a valu le commentaire en bas de cette page.

Trend Hunter

Enfin un job traduisible en français par chasseur de tendances. J’hésite cependant entre « Chasseur » et « Casseur » de tendances car  je passe autant de temps à les identifier qu’à sélectionner celles qui ont un sens pour les entreprises. Chercher à identifier des tendances, sans être sociologue, demande de se spécialiser au maximum et d’adapter les méthodes de réflexion appliquées par la mode au monde du management. Mais aussi au recrutement, développement et plus globalement des RH et de la Gestion des relations (ex-Gestion des Talents) dans un contexte international. Ce qui demande beaucoup d’innovation. Sans oublier d’audace et de courage, car au-delà des limites du bon goût (pour les tendances liées à la mode) et de l’éthique (pour les tendances technologiques) il y a dans notre domaine pas mal de limites légales.

School Whistle Blower

Lanceur d’alerte pour étudiant. Hum, Il vaut mieux le laisser en anglais celui-là. En intervenant en école de commerce ou d’ingénieur, je demande aux étudiants de me décrire la pire expérience professionnelle ou personnelle qu’ils ont vécue. Que ce soit un stage ou un job d’été, je leur demande de formuler ce qu’ils en ont tiré professionnellement et personnellement. C’est ensuite l’occasion de les faire réagir sur les clichés qui circulent sur la génération Y et de réfléchir à la façon d’y répondre. C’est aussi l’occasion de leur présenter les différences culturelles qu’ils vont rencontrer avec ceux qui les manageront et les différents styles de management qu’ils rencontreront. Nous détruisons ensemble leur CV pour en faire des résumés utilisables sur les réseaux sociaux. Nous parlons de leur avenir en tant que futurs managers en les mettant à se manager…Eux-mêmes pour comprendre la situation des personnes qui devront les manager…

Shifter

Être un « Shifter » n’est pas un métier, c’est un état d’esprit demandant de voir les choses sous un nouvel angle. De décaler l’action et ses propos en permanence. De faire des liens qui ne semblent exister que pour soi. De proposer des idées sans peur du ridicule. De prendre des risques sans inquiétude du lendemain… Les Shifters sont des iconoclastes qui luttent contre les croyances en proposant des idées nouvelles ou en rappelant des pratiques oubliées.

Leur volonté est d’ouvrir de nouveaux choix dans un monde de plus en plus normé et étouffant. C’est la disruption adaptée à la RH. C’est un style de management contre-intuitif. C’est surtout le développement des valeurs de notre temps : liberté, échange et différence !

 

 

consultant RH metier de ouf covuverture

 

En conclusion, l’innovation est devenue un élément clé pour les consultants RH qui souhaitent se démarquer et apporter une véritable valeur ajoutée à leurs clients. Face à un environnement en constante évolution et des enjeux RH de plus en plus complexes, le consultant RH doit sans cesse repenser ses méthodes de travail, s’adapter aux nouvelles technologies et intégrer les dernières tendances en matière de gestion des ressources humaines.

L’avenir du métier de consultant RH réside dans sa capacité à proposer des solutions innovantes, personnalisées et adaptées aux besoins spécifiques de chaque entreprise. Pour cela, le consultant RH doit développer ses compétences, se former aux nouvelles pratiques et outils, et être à l’écoute des attentes de ses clients et des évolutions du marché. En adoptant une approche agile et centrée sur l’innovation, le consultant RH pourra non seulement répondre efficacement aux enjeux actuels, mais également anticiper les défis futurs et proposer des solutions pérennes et évolutives.

Pour les consultants RH, l’innovation est donc une opportunité à saisir pour se démarquer, renforcer leur expertise et accompagner les entreprises dans leur transformation. En plaçant l’innovation au cœur de leur métier, les consultants RH contribuent activement à la réussite des entreprises et à l’épanouissement de leurs collaborateurs, tout en renforçant leur propre positionnement sur un marché de plus en plus concurrentiel.

Et vous, votre métier, quand l’inventez vous ?

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7 Commentaires

  1. Marie Botté

    Encore d’accord avec toi Benjamin!!!
    Tous les jours je rêve de le réinventer mon métier mais quelle organsiation va pouvoir me le permettre???
    Où je peux VERITABLEMENT user de ma liberté et exprimer ma différence???
    Je suis en quête de cet idéal..

    ———-
    Bonjour Marie,
    Peut-être que pour cela dois-tu faire preuve de plus d’audace et suivre ton propre chemin non ?

  2. GUEDJ

    Bonjour,

    Alors comment dire…..? que j’adère à xxx% à ce que je viens de lire…. et pour cause !
    je suis manager dans le domaine informatique bancaire depuis un bon petit nombre d’années (15 ans) et je pense shifter depuis encore plus longtemps, mais il me fallait ces années de maturation pour c’est trop long pour ce soir!

    J’aimerai bien pouvoir échanger avec vous, mais j’ai besoin de voir, d’écouter, de ressentir les personnes avec qui j’échange ou pas…

    je repasserai surement…

    Rose-Hélène

    ———–
    Merci pour ce message.
    A bientôt alors.

  3. Domingo

    Bonjour, je trouve votre article vraiment très intéressant (et agréable à lire!). et je suis complètement d’accord avec l’idée de fond qu’il faut savoir réinventer sa vie et son métier. Cependant (et là je vous parle en consultant-manager d’un ex-big four dont je ne citerai pas le nom), le métier de consultant est aussi parfois un métier usant (cf je serai heureuse de savoir ce que vous allez mettre dans votre futur ouvrage à publier en mai) et difficilement compatible avec une vie de famille (je parle en particulier pour les femmes dont je fais partie). Cela fait maintenant 12 ans que je suis consultant et je veux sortir du conseil. Le problème, c’est que je suis uniquement chassée pour des postes de consultant!! Comment faire pour en sortir…sans avoir à réinventer complètement sa vie? Un post sur « comment sortir du conseil » après 40 ans serait intéressant à investiguer je pense.
    Amicalement
    Domingo

  4. Benjamin

    ————
    Si vous attendez que l’on vienne vous chercher il y a effectivement peu de chances que ce soit pour vous proposer un autre poste que celui que vous occupez avec des responsabilités.
    Maintenant, si vous souhaitez changer de carrière, voici quelques possibilités à suivre à vos risques et périls :
    1 – Arrêtez de répondre aux chasseurs de tête si vous souhaitez changer de secteur. La majorité d’entre-eux cherchent à vous placer rapidement et que vous restiez en poste. Ce qui explique pourquoi la plupart d’entres-eux s’intéressent beaucoup plus à votre passé qu’à votre avenir !
    2 – Prenez contact de ma part avec Hymane Ben Aoun de http://www.aravati.fr ou Alain Gavand de http://www.gavand-consultants.com qui s’intéresseront plus à votre potentiel et à vos désirs d’évolution professionnelle que la prime que vous représentez.
    3 – Et du coté de vos clients actuels rien de possible ? Je suis sur que vous connaissez de nombreux cas d’anciens collègues qui ont fait le pas. Surtout si vous souhaitez changer d’activité vous devez trouver des personnes qui vous connaissent et ont confiance en vous pour vous confier une mission qui sorte du rôle dans lequel ils vous connaissent.
    4 – Envoyez tout bouler ! Vous avez 40 ans, et alors ? Vous devrez sans doute le préparez un peu plus précisément votre plan d’action que lorsque vous aviez 20 ans mais qu’est ce qui vous retiens ?

    Je vais bientôt publier l’intro de mon book sur le métier de consultant… Merci encore pour votre commentaire

  5. Lecairn

    Merci benjamin pour la repriise de flambeau comme Architecte HQE RH mais comme toi j’ai du mal a rester dans une case , du coup le concept devrai evoluer bientôt vers architecte (que je garde car il va bien avec mon cairn , et qu’il est là pour conseiller et aider a construire) , je vais oublier la notion de RESSOURCES HUMAINES , l’aspect ressources me fait trop penser au monde minier et à ses connotations d’exploitations non raisonnée -cf « effondrement »

    J’hésite encore entre architecte EHR pour energie Humaine Renouvelable et quelque chose tournant autour d’architecte Ethologue de la performance collective (tu connais mon gout pour la notion d’ecosystème et l’analyse des comportements – remember : predation,symbiose, parasite… a discuter à l’occasion , je te reconnais volontiers une partie de la paternité du premier concept … pourquoi ne pas discuter du prochain !!!

  6. Lecairn

    BTW
    Brain Hacker t’irait pas mal non plus 😉

  7. GUEDJ

    Hello Domingo,

    j’ai 53 ans, consultant pendant 28 ans dans différents secteurs mais avec une forte d’odeur d’informatique.3 enfants, un mari, un chien , un poisson rouge …. je plaisante! Je peux maintenant
    Eh bien j’y suis il m’a fallu une année complète pour « sauter le pas » mais c’est fait j’ai tant apris pendant toutes ces années, j’ai tellement capitalisé, que je change de direction, reprise d’études, j’oublie l’informatique (enfin presque) et je me lance dans l’accompagnement de l’individu dans sa globalité, vie professionnelle + vie privée rt toutes les vies qui ne font qu’une !
    La question est  » si je pouvais tout envoyer bouler » comme le dit si bien Benjamin, ce serait pour faire quoi? posez vous la question « j’ai envie de faire quoi? » et peu importe ce qu’il ya autour, le quand, comment, ….

    Vous avez la réponse? Alors foncez….
    Vous pouvez le faire!!!

    Allez Domingo juste une petite heure en tête à tête avec vous même …!!!

    GO!!!!

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