Authenticité

Authenticité

Pourquoi maintenant ?

Ce besoin a émergé en réaction :

✅ au passage à l’économie de l’expérience. Comment puis-je vivre une expérience plutôt que posséder un produit ?
✅ à la prolifération d’informations dont le bien-fondé est contesté. Comment m’assurer que c’est vrai ?
✅ à l’augmentation d’expression d’opinions divergentes. Laquelle est la bonne ?
✅ au besoin de se protéger d’attitudes ou de propos manipulateurs. Est-il honnête et bienveillant dans sa démarche ?

L’authenticité s’exprime par le besoin de s’assurer de la légitimité et de la véracité d’une information, d’une attitude ou d’une déclaration.
Dans un contexte économique, l’authenticité d’un acte, d’un objet, d’une œuvre ou d’un produit, provient de la certitude sur l’origine qui leur est attribuée concernant l’auteur, le lieu, l’époque, la méthode de fabrication, etc.
En management, elle s’appuie sur des relations honnêtes dans lesquelles ses actions sont alignées avec sa personnalité et basées sur des fondations éthiques.

Les 5 types d’Authenticité

L’authenticité Naturelle : Utiliser l’authenticité naturelle de la nature. Pensez au bio, fermier, complet ou au sans sucre ajouté. Comme par exemple les fabricants de savons qui utilisent des produits naturels et peu de packaging pour laisser le consommateur accéder au produit plus facilement.
L’authenticité Originale : L’authenticité de ce qui a été conçu en premier, qui n’est pas la copie de quelque chose d’antérieur. Leffe a une véritable histoire ce qui lui confère une authenticité historique. Cela peut également être la première marque à son époque ou des marques nostalgiques qui vous font penser à une époque précise ( genre Lego )
L’authenticité d’exception : L’authenticité est perçue d’un produit réalisé à la main par un artisan qui a pris un soin particulier à concevoir et fabriquer le produit. Nespresso « Le Geste parfait ». Ps un artisan mais vous avez l’idée.
L’authenticité de référence : L’authenticité liée à un rituel culturel ou à un souvenir de notre enfance. Manger des sushi au Japon ou un croissant à Paris. 
L’authenticité d’influence : L’authenticité qui créé du sens. Commerce équitable, développement durable, fermier, complet, sans sucre ajouté.  et toutes les offres à trois mots des anglais comme « free-range chicken ».

Mots clés

ADN
Artisanat
Confiance
Emotion
Histoire
Personnalité
Réalité
Sincérité
Storytelling
Transparence
Véracité

Exemples d’entreprises

authenticité

Savonnerie Martin de Candre

Savonnerie qui se présente comme « Artisanale et familiale » depuis 40 ans.
Storytelling sur la rencontre d’un chimiste-savonnier et d’un couple d’exploitant agricole.
Mise en avant d’un savoir-faire particulier et de produits naturels et du terroir associé à la marque

 

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Apple Store

Les vendeurs sont d’abord des utilisateurs des produits.
Ils sont convaincus de la qualité des produits qu’ils vendent.
Steve Jobs était également jugé comme « Authentique »…

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Richard Branson

Image d’Epinal peut-être mais depuis le début de sa carrière il a montré – sans en faire publicité – que sa personnalité et ses valeurs étaient alignées avec ses entreprises.
Audace : Quitter l’école à 16 ans et lancer des entreprises sur des marchés qu’il ne connait pas (music, soda…)
Non conformisme : De son ouvrage « Screw it, let’s do it » à ses déguisements pour lancer ses entreprises
Voir article en anglais « A study of authentic leadership »

Comment développer l’authenticité

En terme marketing l’authenticité revient à

  • Se concentrer sur son storytelling
  • Une construction sociale des consommateurs qui considèrent une marque comme authentique sur base de leur propre expérience, des représentations des autres et des représentations qu’utilise la marque.
  • Garder une forte connexion avec le passé par l’intermédiaire de ses racines
  • Définir sa marque à partir d’éléments cognitifs (Origine, sincérité et autorité) ou expérientiels

Nous pouvons extraire 3 influences de l’authenticité d’une marque : la marqueles expériences personnelles et sa relation avec les autres.

Doit-on oublier ce que l’on sait ?

Doit-on oublier ce que l’on sait ?

Serait-il possible que ce que vous pensez depuis toujours soit devenu…faux ?

Serait-il possible que nous devions réévaluer ce que nous avons appris – ou sommes en train de transmettre – dans tous les domaines du travail et de l’entreprise ?  Entrons dans l’ère de « Unlearning« .

 
 
 

Vous avez tout faux !

Si je résume les derniers best-sellers en littérature RH, Managériale, Marketing – bref, Business donc – tout ce que vous savez sur tout est devenu soudainement faux :
L’argent motive ? FAUX ! C’est l’autonomie, le sens et la volonté de s’améliorer selon Daniel Pink dans « La vérité sur ce qui nous motive« .
Le talent est important ? FAUX ! Il est largement surestimé selon Geoff Colvin pour lequel le plus important est la pratique et le travail dans « Talent is overrated« .
Il faut travailler plus pour gagner plus. FAUX ! On peut gagner sa vie en 4 heures par semaine selon Tim Ferris dans « La semaine de 4 heures« .
Il faut faire un CV pour trouver un JOB. FAUX ! C’est d’abord une question de marque et de réputation pour Dan Schwabel et Fadhila Brahimi dans « Moi 2.0« .
Nous prenons des décision basé sur la logique et la réflexion. FAUX ! On rationalise après avoir pris une décision selon Dan Ariely dans « C’est vraiment moi qui décide ?« .
C’est de notre intelligence que dépend notre réussite. FAUX ! Selon David Brooks dans « l’animal social« , c’est de notre capacité à faire confiance dont dépend notre réussite.
Le Charisme est inné. FAUX ! Selon les recherches d’Olivia Fox Cabane dans « The Charisma Myth« . Il y a des exercices pour développer son charisme et son magnétisme.
La réussite se mesure en argent et responsabilité. FAUX ! La réussite dépend d’abord de votre liberté selon l’approche du Wanagement dont vous trouverez la couverture ici
 
Et cette liste pourrait s’allonger encore si nous y ajoutions les bouquins parus récemment dont les titres commencent par « Re- » :
En anglais : Re-imagine de tom peters, Rework de Jason Fried et David Heinemeier, Rethink (7 ouvrages avec ce même titre), Rewired (4 ouvrages), Re-energize (5 ouvrages), etc.
En français : Repenser…l’état, le monde, la pauvreté, l’entreprise. Réinventer…sa vie, la performance, l’entreprise, les RH, etc.

The Unlearning movement 

Ce mouvement littéraire que nous appelons en anglais « Unlearning » ou « Littérature du Shift » – à défaut de mieux – semble avoir pris de l’ampleur à partir de mars 2000 avec la publication de « Funky Business – le talent fait danser le capital » de Kjell Nordstrom et Jonas Ridderstrale, professeurs à la Stockholm School of Economics (SSE).
 
La déferlante d’ouvrages de Unlearning dans les rayons des librairies depuis cette date peut s’expliquer de plusieurs façons :  
 
1. Il semble plus vendeur d’écrire un bouquin dénonçant un modèle que l’on a cessé de questionner depuis longtemps. Reconnaissez qu’un livre vous expliquant pourquoi ce que vous pensez est faux titille la curiosité.
Alors si en plus de l’explication, le livre vous confie un nouveau modèle…Bingo ! Les modèles ont toujours la cote. C.f. ceux que l’on continue à utiliser tels que la Pyramide de Maslow, les 20/80, SWOT, SMART, VUCA, les 4P ou son remplaçant le modèle SAVE ou…KISS (Keep it Simple Stupid) !
 
2. De plus en plus d’entreprises et de chercheurs mènent des études dont les résultats peuvent déclencher un « buzz » qui donne de l’inspiration aux auteurs. Citons pour l’exemple cette étude de Sheena S. Iyengar et Mark R. Lepper réalisée avec l’assistance de Draeger’s Grocery Store qui fut reprise par Dan Ariely et que se résume en une phrase choc : « Confronté à trop de choix, un client à dix fois moins d’envie d’acheter quelque chose ».
 
3. Si cela touche votre pratique professionnelle, mieux vaut être le premier à le lire et passer pour celui qui a des idées anticonformistes et par qui le changement arrive !
 

Unlearning, vieille arnaque ou bonne nouvelle ? 

Est-il réellement possible que tout ce l’on nous a appris sur le monde professionnel soit faux ? Devons-nous brûler les modèles et méthodes que nous ont transmis jusqu’à présent nos profs, formateurs, consultants ou le dernier bouquin que nous avons lu ?
 
Pour résumer, il y a deux possibilités : Considérez ces titres comme racoleurs et digne de la plus basique arnaque marketing destinés à vendre du livre…ou estimer que ce mouvement est une excellente nouvelle car il :
 
1. Remet en question les anciens modèles 
Si ces bouquins se vendent c’est que leurs lecteurs doivent bien se poser des questions, non ? Que ce soit sur les pratiques utilisées par leur Management ou leur entreprise, sur les motivations des consommateurs, les modes de décisions etc..
Peut-être est-ce le signe que les salariés commencent à réaliser qu’ils appartiennent à un système dans lequel la réflexion et le savoir sont prémâchés et prédigérés et prendre du recul (et sortir de la matrice ah ah).
Peut être que ce scepticisme va nous permettre de sortir des modèles justement ? Un anti-modèle crédible et applicable pour ce monde qui évolue, se transforme, se « transmute », pour citer Jean-Paul Delevoye, qui s’achève, pour citer Michel Serres ou qui se métamorphose pour citer Actarus.
 
2. Change de regard en douceur
L’avantage de cette approche de « Ce que vous croyez est faux » est que justement, pour reprendre le point 1, les auteurs ne nous forcent pas à apprendre par coeur un nouveau modèle mais cherchent – la plupart du temps de façon scientifique – à vous montrer ce qui change, comment, et pourquoi. C’est ensuite à vous de décider si vous adoptez ce nouveau point de vue…ou pas !
 
3. Relance l’innovation 
Si les modèles sont en train de changer/évoluer/disparaître, cela peu vouloir dire qu’il faut réellement réinventer, repenser, réviser, réévaluer, reprendre, re-designer, re… beaucoup de choses. Serait-ce le moment d’inventer/oser/essayer/tester de nouvelles façon de communiquer, vendre, acheter…manager ?
 
 
 
 
Voilà, en résumé tout ce que vous savez sur tout doit être faux à moins que l’on se trompe. Je suis sur que le contre-intuitif et le contre-pied sont en train de prendre le dessus. Sauf si je me trompe. 
 
Les dangers du management de l’authenticité

Les dangers du management de l’authenticité

Management de l’authenticité. Si la notion d’authenticité est devenue un standard en Management, ce mot est devenu un véritable buzzword depuis. Pourtant, je ne suis pas sûr que cette posture managériale est vraiment comprise.

Si vous demandez à un chef d’entreprise ou un manager de vous l’expliquer de quoi il s’agit, il vous dira sûrement que pour être authentique, il faut être intègre, honnête et sincère. En résumé qu’une personne authentique agis en fonction de ses valeurs et ne cherchera pas à se camoufler derrière un masque ou une cravate. Il vous dira sans doute aussi qu’être authentique est une qualité que l’on possède ou pas.

L’authenticité de soi…perçue par les autres

L’authenticité est donc décrite comme l’image que l’on projette vers autrui, qui dépend entièrement de soi et que l’on peut être ou pas en fonction d’un choix raisonné et voulu. Je ne crois pas que ce soit le cas. Il me semble que le niveau d’authenticité, comme celui de compétence, ne peut être évalué que par autrui en fonction de la vision et de l’expérience de cette autre personne. On ne peut pas se regarder dans un miroir et se dire « Je suis authentique » comme on ne peut pas lire son CV et se dire « je suis compétent ».

Devenir « authentique »

Pour faire court, c’est un blog pas un livre, l’authenticité peut se résumer deux points :

  1. Être authentique signifie de faire ce que l’on dit. Un grand classique du management de l’authenticité qui est là base de la confiance (encore un mot à la mode). Mais comme le dit justement le pop-consultant Simon Sinek dans sa présentation « Start with why » ça ne suffit pas. (A partir de la 18e minute)
  2. Il faut aussi que la personne avec laquelle vous cherchez à être authentique puisse se sentir liés à vous par des éléments que vous avez en commun avec elle. Ce qui revient à montrer une facette différente de vous en fonction de qui vous avez en face de vous !

Arrivé ici, vous devez penser que si nous devons nous adapter à notre auditoire ce n’est pas être de l’authenticité, mais de la manipulation. Bien sûr que non. L’authenticité est l’expression de soi et ne peut donc être utilisée à cette fin. Il n’y a rien de manipulatoire de montrer certains traits de personnalité ou parler de certains de vos centres d’intérêt à certaines personnes et pas à d’autres. C’est-à-dire que vous montrer par « morceaux » de vous, qui donne une partie authentique de votre vrai vous.

Authentique, mais pas trop

Cette idée m’est venu en déjeunant avec le directeur régional d’une grande entreprise. Je lui racontais que je connaissais un ami qui a bientôt 40 ans et qui a peur d’acheter un Canapé et une TV pour le symbolisme de l’immobilité qui l’accompagne. Que cette même personne dit toujours en plaisantant qu’un jour, il aura des enfants…quand il sera grand. Mon interlocuteur me répondit que cette personne devait être immature, voire arriéré. Vous avez bien sûr compris que je parlais de moi. La conversation a donc continué sur mes brillantes études, mes créations d’entreprise, mes succès et mes échecs. Bref, des morceaux de moi plus facilement acceptable par quelqu’un qui a toujours travaillé dans la même société, s’est marié de bonne heure et est devenu parent dans la foulée.

Les limites du management de l’authenticité

L’authenticité est donc comme le bon sens, chacun en a sa propre interprétation. Ce qui pour vous paraît authentique pourra paraître pour d’autres complètement idiots si cette authenticité est montrée au mauvais moment. Je pense à ce dirigeant remerciant ses salariés pour avoir travaillé durement et lui avoir permis d’acheter le dernier modèle de chez BMW. Authentiquement crétin.

Maintenant, imaginez le manager rigide, manquant d’assurance et considérant que sa fonction est d’être celui qui donne les ordres du travail à faire et contrôle le travail effectué. Que faites-vous si pour lui être authentique est de rabaisser ses collaborateurs, les empêcher d’évoluer, etc. Allez vous lui reprocher d’être « authentique ? » selon ses propres valeurs ?

Adapter son management de l’authenticité

Les leaders authentiques seraient donc ceux qui sont capables de comprendre très vite ce qu’ils peuvent dire d’eux-mêmes et de la posture à adopter en fonction de leur environnement et des circonstances. Ce qui demande de chercher à comprendre « l’autre », sa situation de vie, ses origines, ses traits de personnalités saillants, ses motivations, sa vision du monde…Bref, être à l’écoute de façon bienveillante.

Pourquoi les managers luttent avec l’authenticité

Le mot « authentique » désignait traditionnellement une œuvre d’art qui est un original et non une copie. Lorsqu’il est utilisé pour décrire le leadership, le management de l’authenticité, ce mot à d’autres significations qui peuvent être problématiques. Par exemple, la notion d’adhésion à un « soit authentique » va à l’encontre de la façon dont les gens évoluent avec l’expérience. Ils découvrent des facettes d’eux-mêmes qu’ils n’auraient jamais découvertes par la seule introspection. Et puis être totalement transparent. C’est-à-dire de révéler chaque pensée et chaque sentiment est irréaliste et risqué.

Les risques d’incompréhension du management de l’authenticité

Les managers d’aujourd’hui sont confrontés à un problème d’authenticité pour 3 raisons.

  1. Nous vivons des changements plus fréquents et radicaux dans nôtre travail. Alors que nous nous efforçons d’améliorer notre comportement, une conscience claire et ferme de soi est une boussole qui nous aide à faire des choix. Cette boussole nous aide à progresser vers nos objectifs. Mais lorsque nous cherchons à changer, une image de soi est trop rigide devient un poids qui nous empêche d’avancer.

  2. Ensuite, nous pouvons travailler avec des personnes qui ne partagent pas notre culturelle. Elles ont des attentes différentes quant à la façon dont nous devons nous comporter. Il peut souvent sembler que nous devons choisir entre ce qui est attendu, ce qui est efficace, et ce qui semble authentique.

  3. Les identités sont toujours présentes dans le monde actuel de connectivité et de médias sociaux omniprésents. La façon dont nous nous présentons – non seulement en tant que cadres, mais aussi en tant que personnes, avec des bizarreries et des intérêts plus larges – est devenue un aspect important du leadership. Le fait d’avoir à définir avec soin un personnage qui est visible par tous peut entrer en conflit avec notre perception personnelle de nous-mêmes.

DRH ouvrier et management de l'authenticité par benjamin chaminade

Avoir moins pour devenir plus, Consommation décroissante

Avoir moins pour devenir plus, Consommation décroissante


Consommation décroissante. Le consom’acteur est un consommateur responsable et engagé. Il ou elle utilise sa consommation pour influencer son environnement en choisissant les produits ou services les plus conformes à ses valeurs. Il ou elle va plus loin en boycottant ceux qui ne le sont pas.

Le consom’acteur ou consom’actrice:

  • choisis de consommer de façon citoyenne
  • décide d’acheter moins en se contentant de ce qu’il possède déjà
  • répare et recycle en priorité.

Le Consom’acteur décroissant n’est donc pas une poire achetant uniquement des produits estampillés « Développement Durable » dont il se méfie. Selon une enquête Ethicity de 2010, un consommateur sur deux se méfie des discours du Développement Durable des marques et 62 % disent ne pas pouvoir juger de la meilleure qualité des produits durables.

On peut rapprocher ces «consom’acteurs décroissants» les « créatifs culturels » qui regroupe les personnes cherchant à réduire leur dépendance vis-à-vis des modes de consommation industrialisés.

Consommation décroissante

Leur idéal

  • Moins dépendre des objets et se débarrasser de l’inutile que l’on stocke.
  • Créer une vraie coupure entre le dedans (cocooning) et le dehors bruyant , c’est le vide qui relie ou le « Ma » japonais
  • Revenir à l’essentiel, aux lignes simples et épurées
  • La création d’une relation de confiance avec une marque et un certain retour de la fidélité en celle-ci

Les métiers issus de cette tendance de la consommation décroissante

  • Electro-dépollueur ou Géo-biologiste : audit de la pollution (électromagnétique, telluriques, atmosphérique, etc.) que vous subissez à votre domicile pour vous proposer des solutions de protection. Pour associer le bien-être et la déco, il vous conseille en aménagement intérieur écologique.
  • Simplificateur d’ambiance : décorateur d’ambiance vous proposant de simplifier votre intérieur pour le rendre plus « Zen »
  • Concepteur de plats bio : de consultant pour restaurants et hôtel vend des recettes exclusives détaillant l’origine des produits et l’apport calorique.
  • Désencombreur : vôtre propre Valérie Damidot vient chez vous pour vous débarrasser de votre vieux mobilier et vous faire des propositions d’aménagement en fonction de votre budget
  • Loueur de tout et de rien : oeuvre d’art, sac à main, vêtements ou matériel pour bébés, faites votre choix.
  • Vendeur solidaire : revends le mobilier fourni par les désencombreurs ou des vêtements d’occasion comme la Friperie Solidaire.

Inspiré par l’orde des experts comptables 2010